Alex Karp, PDG de Palantir, ne s’excusera pas pour son travail militaire

Durée de lecture : environ 2 minutes


La société d’analyse de données Palantir a fait face à des critiques et même des protestations sur son travail avec l’armée, la police et les services d’immigration et des douanes des États-Unis, mais le cofondateur et PDG Alex Karp n’est pas intéressé par « le spectacle des excuses ».

Dans un long profil du New York TimesKarp a déclaré à l’écrivaine Maureen Dowd que l’entreprise avait « une vision systématiquement pro-occidentale » et que ses critiques « pensent que nous devrions apaiser l’Iran, la Russie et la Chine ».

« Je ne vais pas m’excuser d’avoir défendu le gouvernement américain à la frontière, d’avoir défendu les forces spéciales, d’avoir rapatrié les gens », a-t-il déclaré. « Je ne vais pas m’excuser d’avoir donné notre produit à l’Ukraine, à Israël ou à beaucoup d’autres pays. »

Karp ne donne pas beaucoup d’interviews, il est donc intéressant de le voir parler si longuement de tout, de ses opinions politiques (qu’il décrit comme « progressistes mais pas éveillées ») à son amitié avec le cofondateur de Palantir, Peter Thiel, et ses préférences en matière de rencontres.

Mais il n’est pas prêt à en dire beaucoup sur le travail de Palantir. Lorsqu’on lui a demandé si l’entreprise avait joué un rôle dans la localisation d’Oussama ben Laden, Karp a hésité, expliquant : « Si vous avez la réputation de parler de ce que dit le pape lorsque vous le rencontrez, vous ne le rencontrerez plus jamais. »



Source link

LIRE AUSSI  Interview avec Jérémy Demon, fondateur de Linkelite : La Magie Digitale au Service des Concessionnaires Automobiles
Héloïse Morineau

Héloïse Morineau est une journaliste passionnée par l'écriture et la découverte de nouveaux sujets. Avec une expérience de plusieurs années dans le domaine du journalisme, elle a développé une expertise dans la rédaction d'articles de qualité, tant sur des sujets d'actualité que sur des sujets plus spécialisés.

Laisser un commentaire